Amira Jenkins

ASHLEY BENSON

Lorsque j'ai vu le jour, je devais avoir un prénom, alors après de longues minutes on a décidé que ça allait être : Amira Jenkins. J'endure ce nom depuis vingt et un ans, on m'a dit que c'était le 16 avril 1991 à sur la base de Fort Belvoir que j'avais vu la première fois le jour. On m'a toujours dit que je devrais un jour gagner de l'argent, c'est pour ça qu'en ce moment je suis étudiante en psychologie et est aussi aide-soignante. Et vu que dans la vie on ne peut jamais être seul... Je suis célibataire et si on me demandait si cela me convient je dirais : oui. Je vis actuellement sur la base avec ma soeur. D'ailleurs j'y réside depuis plus de sept ans. Puis pour parfaire la perfection que je suis, j'ai un caractère en or : Fragile, souriante, discrète, mystérieuse, vivante, curieuse, lunatique, enfantine, créative, sociable, solitaire, imaginative, distraite, énergique, simplette, intelligente, astucieuse, intelligente. Et je peux vous garantir que je suis la seule famille pour ma soeur soldate.

je ne suis pas un robot

AERIE/VALÉRIE.

L'histoire a commencé il y a vingt ans, les soixante ans sont encore loin... En tout cas je vis actuellement au Québec. Puis vu que j'ai un méga ordinateur de la mort qui tue tout, je vais me connecter : dès que je peux . Vu que j'aime le forum et que j'ai craqué en le voyant sur bazzart, mais aussi par la fondatrice, j'ai donc décidé de m'inscrire avec Ashley Benson.

je tiens à vous le dire

MES PETITES RÉPONSES.

◆ Si je te dis militaire, tu me réponds quoi ?

Le premier mot qui me vient en tête, c’est protecteur. Je sais pas pourquoi, mais les gens qui s’enrôle dans l’armée reçoivent le rôle de nous protégé contre d’éventuelles attaques. Bien sûr, ce n’est pas quelques choses que j’accepte. Beaucoup d’hommes, de femmes, mais aussi d’adolescents sont mort au combat pour nous protégé. Mon père en fait partie et depuis, je me suis anéantie. Il était ma seule famille avec ma sœur, mais cette dernière a également décider de s’enrôler, suivant ainsi les traces de nôtre père. Chaque fois qu’elle part en mission, j’ai peur qu’elle ne revienne pas. Je l’aime beaucoup, mais je ne cesse de la voir partie pour toujours. Je sais que je ne suis pas seule dans cette situation. Ayant vécue sur la base depuis ma naissance, j’ai vue grandir chaque personne et je vois à quel point la douleur de perdre un être cher est présent. J’aimerais faire quelque chose pour les aider, d’où la raison de mes études en psychologie.

◆ Des manies, des tics, en as-tu ?

Je parle l’espagnol, le français, l’anglais et certaines que les bases. J’ai toujours eu un faible pour les autres cultures. ★ Je fais de la natation, depuis mon plus jeune âge. Je suis comme un poisson dans l’eau. ★ Mon père était le LIEUTENANT COLONEL Jenkins, apprécié de tous. ★ Je fais des études en en psychologie pour aider les familles des soldats. ★ Je suis née sur la base ★ Même si je suis blonde et parfois naïve, je suis plus intelligente que vous le pensez. J’ai un QI plus haut que la moyenne, j'ai même fini le secondaire un an a l'avance parce que j'avais sauté une année. J'ai même une mémoire photographique. Ce qui veut dire que peu importe ce que j’étudiais, je gardais tout en mémoire, et j’avais la plupart du temps les meilleures notes. ★ Comme j'ai perdue ma mère jeune, je suis devenue mature très jeune et je faisais la cuisine, les tâche ménagère à l’âge de dix ans. ★ Lorsque je suis nerveuse, je joue souvent avec une mèche de mes cheveux ou alors je me ronge les ongles. ★ Vous trouverez pas plus accro que moi concernant les films. Si jamais je vous invite chez moi, vous trouverez un mur complète dédié à des films, vieux comme récent. ★ Je ne pars jamais sans mon agenda, mon portable et surtout mon IPod. ★ Je suis une fashionista, la mode est moi c'est une grande histoire d'amour. ★ J'adore le dessin et la photographie, se sont mes deux passe temps préférés. ★ Je suis très gaffeuse et je ne passe pas souvent inaperçue, par moment cela m’a attiré des ennuis.

je vous expose ma vie

CITATION CITATION CITATION.

« Amira, ton père part en mission ! Viens lui dire au revoir ! » À l’époque de mes six ans, ma mère était toujours en vie, mais malheureusement pas en bonne santé. Il y a deux ans, alors que j’avais que quatre ans, elle avait été diagnostiquée avec un cancer dégénératif. Plus les années passaient et plus elle devenait faible, même qu’elle était rendu en chaise roulante et qu’elle dormait au rez-de-chaussée. On avait demandé à la base de réaménager la maison afin qu’elle soit plus adapté à sa condition. « J’arrive… « Je me traina jusqu’en bas et je regarda ma mère, ma sœur puis finalement mon père. À chaque fois que mon père partait, je me sentais mal pour ma mère. Chaque jour elle mourrait à petit feu et c’était pire lorsque mon père était loin. « Reste papa ! N’y va pas ! » Malgré mes six ans, j’étais assez intelligente et j’avais un bon vocabulaire. Contrairement à ma sœur, je n’aimais pas que mon père parte toutes les semaines, nous laissant ainsi seules. Quand il n’était plus là, c’était Samara, ma sœur ainée, qui prenait la maison en charge du haut de ses douze ans. Elle voulait devenir comme mon père. Ayant toujours vécue sur la base et ayant souvent accompagné notre père, elle avait pris gout à ça et voulait marcher sur ses traces.

« TU N’ÉTAIS PAS LÀ ! TU NOUS AS ABANDONÉES ! » Un an plus tard, mon père revenait à peine d’une mission. Enfin, il avait dû revenir plus tôt puisque notre mère venait de mourir et moi je lui en voulais énormément. Il n’était pas là, alors qu’elle en avait le plus besoin. « ELLE EST MORTE PAR TA FAUTE » Les larmes me coulaient sur les joue au point ou ma vue s’embrouilla. « Ne dit pas ça Amira. Ce n’est pas ça faute. » Samira me serra dans ses bras et s’adressa à notre père. « Elle ne voulait plus se battre. Elle souffrait et encore plus quand tu n’étais pas là. » Samira avait toujours été forte et cela paraissait dans sa posture et dans son ton de voix, mais à ce moment-là, je perçu qu’elle ne tenait plus. Puis à son tour, elle s’écroula et notre père nous serra dans ses bras comprenant ma colère. Les jours qui suivirent furent très dure pour moi. Je ne parlais plus beaucoup et passait le plus clair de mon temps dans ma chambre dès que je revenais des cours. Cela pris presqu’un mois avant que je ne recommence à parler à mon père. Vous imaginez, la petite fille de sept ans qui ne parle plus à son père pendant un mois entier ? C’est long, je peux vous le dire.

Les années passèrent et même si j’en voulais à mon père, ma colère avait diminué. Ma mère me manquait terriblement, mais maintenant j’avais plus peur de perdre mon père. Il était ma seule famille avec ma sœur. Puis, elle aussi dès qu’elle eut dix-huit ans, elle s’enrôle également pour suivre les traces de mon père. Comme elle devait faire l’entrainement, elle me gardait quand notre père partait en mission, mais je me retrouvais souvent seule avec une gardienne trop préoccupé par son copain que par moi. Du coup, je passais beaucoup de temps à lire des bouquins, faire des recherches. J’avais toujours été doué à l’école et avoir du temps à tuer aidait grandement mon évolution intellectuelle. Lorsque fut mon tour d’avoir dix-huit ans, je quittai la basse durant quelques années afin de faire mes études en psychologie. Comme j’avais toujours eu des bonnes notes, je presque terminé mes études à seulement vingt et un ans. Comme j’ai du temps à tuer pour ne pas être seule à la maison, je prends également des cours du soir sur l’étude des comportements humains. Peut-être qu’un jour je pourrai devenir Profiler pour la police ou encore l’armée. J’ai toujours aimé la science touchant l’humain. Il y a tellement de mystère qui l’entoure et c’est toujours amusant de chercher ce que les autres cachent derrière leur masque.