sloan egerton

amber heard

Lorsque j'ai vu le jour, je devais avoir un prénom, alors après de longues minutes on a décidé que ça allait être : Sloan - une prénom d'homme, une prévision, une prémonition. Egerton - un nom connu dans le monde militaire car mon père y est entré très jeune. Je l'endure depuis vingt-cinq ans ans, on m'a dit que c'était le sept avril à fort marshall, en caroline du nord que j'avais vu la première fois le jour. On m'a toujours dit que je devrais un jour gagner de l'argent, c'est pour ça qu'en ce moment je suis reporter de guerre. Et vu que dans la vie on ne peut jamais être seul... Je suis fiancée et si on me demandait si cela me convient je dirais : que c'est compliqué et que, au fond, si je ne sais plus qui je suis, comment pourrais-je savoir qui j'aime ? Je vis actuellement sur la base. D'ailleurs j'y réside depuis deux ans. Puis pour parfaire la perfection que je suis, j'ai un caractère en or : je me découvre tenace, gourmande, généreuse, bornée, indépendante, à l'écoute, casse-cou. Et je peux vous garantir que je suis soldiers families.

je ne suis pas un robot

GIMME/ELISABETH.

L'histoire a commencé il y a vingt ans, les soixante ans sont encore loin... En tout cas je vis actuellement en Suisse. Puis vu que j'ai un méga ordinateur de la mort qui tue tout, je vais me connecter : à peu près quotidiennement. Vu que j'aime le forum et que j'ai craqué en le voyant sur bazzart, j'ai donc décidé de m'inscrire avec Amber Heard - après moult hésitation.

je tiens à vous le dire

MES PETITES RÉPONSES.

◆ Si je te dis militaire, tu me réponds quoi ?

Des cartons. Les camions du déménagement. Une nouvelle école. Des gens que tu n'appelleras jamais des amis. Des visages qui défilent. Des prénoms que tu ne retiendras pas. De nouveaux cartons. Encore une maison. Une base en plus. La vie militaire, jusqu'à ma majorité, s'est résumée à cela. Où mon père était appelé, ma mère et moi avons suivi. Je n'en ai pas souffert, j'ai seulement été très déstabilisée. Pas une gamine comme les autres. Je rêvais d'une ville, pas d'une base. » Du moins, c'est ce que j'aurais certainement répondu il y a quelques mois, selon ce qui m'a été raconté. Aujourd'hui, en ce qui me concerne, militaire rime avec néant. Je ne me souviens de rien. Je ne sais plus. Je m'éveille sur cette base, la main dans celle d'un gradé qui dit être mon fiancé. Mais je ne reconnais plus rien. L'armée, c'est l'inconnu dans l'équation de ma vie.

◆ Des manies, des tics, en as-tu ?

Je n'aime pas les gens qui mâchent trop fort. J'ai la fâcheuse tendance à prendre les gens en photographie sans leur permission préalable. Je perds mes clés un peu n'importe où. Je ne sais plus qui est cette homme qui me parle si tendrement, qui me prend dans ses bras, qui me caresse doucement. J'ai été blessée sur le front. Jeune, j'aimais sauter des toits et des arbres. Je travaille en tant que reporter de guerre depuis quatre ans. J'étais sur un projet de documentaire lorsque j'ai été touchée en Afghanistan. Je mâchouille le bout de mon stylo. Je suis végétarienne depuis que je me suis réveillée de mon coma, alors que je ne l'avais jamais été auparavant. Je suis complètement perdue. J'aime les défis complètement barrés. J'aimerais sauter, à nouveau, en parachute, puisque j'ai oublié la sensation.

je vous expose ma vie

et, à nouveau, je suis née. tout commence dans l'obscurité.

Néant. Cinq lettres, deux syllabes. Cinq lettres pour décrire le rien, le trou d'un puits sans fond, le sommeil. Ma perdition. Je m'éveillai dans le néant, dans le rien, dans le trou d'un puits sans fond. Je m'éveillai doucement, en poussant quelques soupirs, peut-être même un gémissement lorsque je remarquai les douleurs lancinantes dans mon crâne. Je m'éveillai d'un profond sommeil, sans le savoir, long de plusieurs jours. Mais je n'y pensais pas, je ne le pouvais pas : je ne réfléchissais même pas. Mon corps se réveillait, mes jambes fourmillaient, et je n'osais pas même ouvrir les paupières, de crainte que mes yeux ne soient trop brusquement agressés par la lumière baignant la pièce. Une paume se glissa finalement contre la mienne. Et ce fut là. L'instant précis où je compris que je n'étais pas normale. Que je n'étais plus normale - l'avais-je seulement jamais été ? Un visage me vint soudainement à l'esprit, rebondissant contre les parois douloureuses de mon crâne. Une tenue de soldat, un visage anguleux mais bienveillant. Un sourire à damner un saint. Mais, lorsque j'ouvris finalement les yeux, une paire d'iris inconnue me dévisageait, des lèvres pleines et souriantes. Un visage apaisé. Que je ne reconnaissais pas.

Sloan Egerton a écrit:

Je suis un peu tarée, j'avoue. Mais, en même temps, je n'ai fait que ce que tu m'as dit.
Merci encore, en tout cas. Ca c'est du conseil, dans cette administration.

Phoebe Gallagher a écrit:

Oui, j'aime martyriser les membres

Amira Jenkins a écrit:

Amber la magnifique !
Très bon choix d'actrice !!!
Bonne chance pour ta présentation !

Sloan Egerton a écrit:

Phoebe Gallagher a écrit:

Oui, j'aime martyriser les membres

Alors j'ai eu très peeeeeeeur.